« Osons entreprendre » : c’est le titre du rapport intégré 24-25, qu’est-ce que cela vous inspire ? C. B. Entreprendre, c’est avoir des projets et les exécuter. Ce qui implique d’oser. C’est dans cet esprit que nous travaillons depuis plusieurs années à la transformation du Groupe. C’est un impératif dans ce monde qui bouge très vite. G. M. C’est d’ailleurs ce qui m’a convaincu de rejoindre VIVESCIA. Entreprendre, c’est transformer et se transformer. C’est vital pour anticiper les mutations en cours agricoles, industrielles, digitales, environnementales, sociétales… Aujourd’hui plus que jamais ! Ce titre nous projette vers le futur. Pourtant, ce document s’ouvre sur le livre Mémoire de grains – VIVESCIA, une histoire céréalière, donc un regard tourné vers le passé. N’est-ce pas paradoxal ? C. B. Bien au contraire. Mémoire de grains raconte précisément l’histoire d’agriculteurs­entrepreneurs audacieux qui ont osé entreprendre, qui ont coopéré et innové pour créer de la valeur depuis près d’un siècle. Comme le rappelle l’auteur Jean­Pierre Williot, que je remercie une fois encore pour son travail, il faut éclairer le passé pour bâtir l’avenir. Ce livre met en lumière notre héritage, nous inspire, nous invite à poursuivre cette aventure collective. G. M. Et il nous confère aussi une grande responsabilité ! Il nous engage tous, les collaborateurs et les agriculteurs­ coopérateurs de VIVESCIA. J’avoue que ce livre fut pour moi une belle surprise en arrivant dans le Groupe. Il est précieux pour écrire ce nouveau chapitre 2030 de l’histoire de VIVESCIA. Revisiter le passé, c’est mieux nous connaître, faire le point sur nos atouts pour demain : la force du collectif, la coopération, notre capacité d’innovation et les ressorts mobilisés depuis toujours pour créer de la valeur. rencontrE aveC... 13