Tout commence ensemble - TRANSITIONS 2024-2025

TOUT COMMENCE ENSEMBLE

TRANSITIONS poursuit sa dynamique et conforte son rôle moteur de 1er programme à impact en France et en Europe. Depuis deux ans, il se renforce, essaime... L’occasion de donner la parole à ceux qui le vivent et le font vivre... TRANSITIONS porte une vision optimiste de l’agriculture, une agriculture régénérative qui avance, conciliant durabilité, innovation et maintien de la production agricole. La réussite des premiers pas de TRANSITIONS est le résultat de la confiance mutuelle, de l'énergie collective des différents partenaires de la chaîne de valeur et de ses filières. Deux années d'apprentissage, d'action, de progrès au service de la résilience des fermes de demain et de pratiques agricoles bas carbone, favorables aux sols et à la biodiversité. Cap sur 2030 ! Valérie Frapier Directrice du programme TRANSITIONS L’AVENTURE COLLECTIVE CONTINUE ! 1

1. 2. 3. AU COMMENCEMENT... Le programme est né de la volonté de la Coopérative VIVESCIA de soutenir et d’accompagner depuis toujours les agriculteurs-coopérateurs engagés pour la durabilité de leur ferme. En 2021, les équipes VIVESCIA, avec l’appui technique de son partenaire Earthworm, ont imaginé une réponse concrète et systémique aux défis des transitions agricoles en connectant l’amont agricole et l’aval industriel. Pour la première fois à cette échelle et sur l’ensemble de la rotation des fermes, une démarche de progrès collective est née : le programme TRANSITIONS a été lancé en septembre 2023. COMMENT ÇA MARCHE ? Des coalitions de clients industriels et agroalimentaires et de partenaires techniques et scientifiques : pour réussir les transitions agricoles et alimentaires à grande échelle, seule une réponse collective s’impose pour en mutualiser les coûts. Un cadre agronomique systémique – sols, carbone, biodiversité – pensé à l’échelle de l’exploitation, seul gage de progrès : le programme vise à dérisquer sur le plan économique et technique les agriculteurs qui s’engagent pour trois ans, grâce à un soutien financier significatif, à un plan de formation collectif et à un accompagnement individuel concret. Une chaîne de confiance numérique : pierre angulaire du programme, les data sont à la base d’une chaîne de données robustes, dont la méthodologie pionnière dans notre secteur est unanimement reconnue. UN PROGRAMME NOVATEUR ET ROBUSTE TRANSITIONS fédère les filières végétales et céréalières entre l’amont et l’aval, dans un programme ambitieux, novateur et robuste, aligné sur les référentiels scientifiques et internationaux (GHG Protocol, SBTi FLAG, SAI Regen Ag1) et audité par des organismes indépendants. 1. SAI Regenerative Agriculture. 2

BY NORIAP BY VIVESCIA TRANSITIONS BY VIVESCIA • Le passage à l’échelle se confirme avec l’annonce de l’engagement le 2 octobre 2025 dans le cadre du séminaire annuel TRANSITIONS, de 180 nouveaux agriculteurs-coopérateurs VIVESCIA pour trois ans. Au total, ce sont 600 agriculteurs engagés dans la démarche, pour 500 000 tonnes de céréales et d’oléoprotéagineux d’ici 2026 (100 000 hectares et plus de 15 % de la collecte). • Côté aval, la coalition se renforce également avec l’arrivée dans le programme de trois nouveaux partenaires, clients respectifs de Malteurop, de Grands Moulins de Paris et du groupe Etea Sédamyl : le groupe de boissons Suntory, Vandemoortele, groupe familial belge de boulangerie-viennoiserie- pâtisserie (BVP) surgelée, et Pernod Ricard. 600 COOPÉRATEURS VIVESCIA RÉPARTIS EN 3 PROMOTIONS 2023, 2024, 2025 ET ENGAGÉES CHACUNE POUR 3 ANS + DE 50 TECHNICIENS FORMÉS D’ICI 2026 SOUTIEN ÉCONOMIQUE 2,1 M€ VERSÉS AUX 184 AGRICULTEURS VIVESCIA DE LA PROMO A (AU 30 JUIN 2025) Noriap et la Chambre d’agriculture de la Seine-Maritime officialisent leur partenariat. UN PROGRAMME À L’ÉCHELLE DES TERRITOIRES Le groupe de boissons Suntory et le groupe familial belge de BVP Vandemoortele rejoignent la coalition TRANSITIONS – séminaire annuel TRANSITIONS, 2 octobre 2025. Sous le signe de la coopération, du dialogue interfilières et de l’innovation, l’aventure collective continue, la dynamique de TRANSITIONS se renforce ! TRANSITIONS BY NORIAP • La duplication du programme s’accélère. Les préparatifs de lancement se finalisent avec le recrutement des premiers agriculteurs sur les territoires de Noriap : 66 sont en cours de prédiagnostic et neuf techniciens se forment avec ARVALIS. • De nouvelles collaborations sont en cours, avec notamment la signature d’un partenariat avec la Chambre d’agriculture de Seine-Maritime sur la thématique de l’eau. 3

Programme audacieux et innovant, TRANSITIONS est une véritable passerelle entre les agriculteurs et les clients de l’industrie, permettant à chacun de progresser. Il est aussi un laboratoire modélisant au service d’une agriculture pro- active et de filières plus résilientes. TRANSITIONS essaime et se développe au-delà de nos frontières coopératives VIVESCIA. Tous ensemble, continuons d’écrire TRANSITIONS ! » Christoph Büren Président du Groupe VIVESCIA L’entrée dans le programme TRANSITIONS s’inscrit dans la continuité de nos programmes filières, avec une ambition renforcée : faire évoluer nos productions agricoles en phase avec les attentes des industriels et des consommateurs. C’est un levier structurant pour accompagner l’évolution globale de nos pratiques, renforcer la résilience de nos exploitations face aux aléas climatiques, économiques et réglementaires et valoriser concrètement les efforts des agriculteurs. » David Saelens Président de Noriap Les coopératives agricoles sont des relais très importants. Nous soutenons le programme TRANSITIONS avec enthousiasme et engagement. L’idée, c’est vraiment de faire jouer l’amont et l’aval pour un transfert de valeurs vertueux. L’État continuera à soutenir cette coalition au fil de son développement. » Bruno Bonnell Secrétaire général pour l’investissement, chargé du plan France 2030 C’est le programme le plus important en Europe, très bien pensé et je pense que nous pouvons faciliter, via SAI Platform, son implémentation dans d’autres pays. » Hans Jöhr Président d’honneur de SAI – séminaire TRANSITIONS 2025 L’initiative de VIVESCIA répond à un grand nombre d’impératifs que chaque agriculteur ne peut pas aborder seul. Elle associe le besoin massif d’accompagnement pour réussir la transition agroécologique avec la dimension collective et territoriale majeure aux côtés des actions individuelles. » Philippe Mauguin Président de l’INRAE – Salon de l'agriculture de Paris 2025 Le fait de concevoir une démarche qui est engageante, collective, qui mutualise les coûts et dérisque l'ensemble des acteurs, c'est véritablement une démarche exemplaire. TRANSITIONS est un modèle que nous devons décliner dans quasiment tous les domaines de notre société à l'échelle du Grand Est. » Franck Leroy Président du conseil régional du Grand Est POINTS DE VUE 4

UN CADRE AGRONOMIQUE POUR TOUTES LES FERMES GRANDES CULTURES Pensé à l’échelle de l’exploitation, seul gage de progrès, le programme est construit sur une base scientifique précise : le cadre agronomique sert à qualifier et à quantifier trois axes de progrès – sols, carbone, biodiversité. SOLS CLIMAT BIODIVERSITÉ Le programme n’est donc pas un cahier des charges, mais un tableau de bord universel utile à l’agriculteur pour mesurer ses progrès, s’appuyant sur des référentiels scientifiques reconnus (Label bas carbone grandes cultures, certification environnementale, GHG Protocol…) L’AXE 1 – le sol compte deux indicateurs : la durée de couverture des sols et le carbone humifié restitué au sol. L’AXE 2 – le climat est évalué à partir des émissions de gaz à effet de serre (GES) des exploitations agricoles. Son référentiel, le Label bas carbone (LBC) – méthode grandes cultures, concerne tout le système de cultures. L’AXE 3 – la biodiversité est, à date, évalué par le référentiel de la certification environnementale portée par le ministère de l’Agriculture et l’interprofession (CE2, CE2+ et HVE). Les agriculteurs TRANSITIONS s’engagent également à réaliser un diagnostic biodiversité AgriBest1, en vue d’étayer les travaux en cours pour définir un socle d’indicateurs d’impact adapté aux territoires. 1. Outil simple et gratuit, co-développé depuis 2019 par CDC Biodiversité et La Coopération Agricole et optimisé avec la contribution des équipes VIVESCIA. UN SOCLE SCIENTIFIQUE, UN ÉCOSYSTÈME DE R&D La chaire de recherche « Des fermes résilientes, bénéfiques pour le climat et la biodiversité » a été lancée en 2024, en partenariat avec l’Institut polytechnique UniLaSalle et en collaboration avec l’INRAE, pour nourrir la R&D du programme TRANSITIONS et renforcer les connaissances scientifiques sur les leviers agronomiques. TOUTES LES CULTURES SONT AU PROGRAMME Maintenir et renforcer la résilience et la fertilité des sols Réduire l'empreinte carbone des exploitations pour contribuer à la neutralité Préserver et restaurer l'écosystème à l'échelle de l'exploitation AXES DE PROGRÈS INDICATEURS Émissions de GES Durée de couverture Quantité de carbone humifié restituée Certification environnementale 5

UN PROGRAMME DE FORMATION ET DE SOUTIEN TECHNIQUE NOMBRE D'AGRICULTEURS Couverts (biomasse) 108 Couverts (légumineuses) 108 OAD2-fertilisation 98 Substitution des formes d'engrais minéral 93 Enfouir plus rapidement la fertilisation organique 88 COUVERTS ET FERTILISATION : LES CHOIX QUI DOMINENT TOP 5 des leviers choisis sur le terrain UN ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL ET COLLECTIF Chaque agriculteur-coopérateur qui entre dans le programme TRANSITIONS bénéficie d’un soutien technique. Cet accompagnement est indispensable pour comprendre les enjeux et progresser sur les indicateurs du cadre technique. Il fait l’objet d’un parcours dédié, pluriannuel, animé par des agronomes et des experts. Il n’est pas académique mais fondé sur l’expérience, le partage et la transversalité que permettent les rencontres de terrain, les ateliers et les échanges au quotidien avec son technicien. 138 RÉUNIONS DE FORMATION COLLECTIVE ORGANISÉES PAR VIVESCIA DEPUIS 2 ANS DES PLANS D’ACTION INDIVIDUALISÉS Chaque agriculteur élabore son plan d’action sur trois ans, remis à jour chaque année, avec l’aide de son technicien référent : identification des forces, faiblesses, opportunités, contraintes de l’exploitation, leviers mobilisables, simulation et évaluation des résultats. Objectif : faire progresser l’exploitation sur les différents axes pour améliorer ses résultats par rapport aux indicateurs du cadre agronomique. 419 PLANS D’ACTION INDIVIDUELS VIVESCIA AU 30 JUIN 2025 Au-delà des formations en salle, nous allons le plus possible sur le terrain, avec des visites d'essais sur les couverts végétaux ou encore un rallye des profils de sols qui a lieu sur tout le territoire de la Coopérative. Ces réunions au champ sont appréciées par les agriculteurs, parce qu’elles sont très concrètes et sont utiles pour échanger entre pairs. » Armand Gandon Responsable amont agricole TRANSITIONS 95 % D'AGRICULTEURS ENGAGÉS VIVESCIA ONT RÉALISÉ UN DIAGNOSTIC BIODIVERSITÉ AGRIBEST1 1. Outil simple et gratuit, co-développé depuis 2019 par CDC Biodiversité et La Coopération Agricole et optimisé avec la contribution des équipes VIVESCIA. 2. Outils d’aide à la décision. 6

Quelles sont les grandes étapes dans la mise en œuvre du programme ? L. R._ L’accompagnement se fait tout au long de l’année. Il est à la fois commercial et agronomique. Les formations peuvent prendre des formes très différentes : visite d’essais des couverts, séance plénière pour présenter notre outil de traçabilité, formation collective purement agronomique sur le bilan humique, les différentes matières organiques etc. L’intérêt de ces formations collectives, très appréciées par les agriculteurs, c’est de leur amener matière à réflexion. Ensuite, nous revenons les voir individuellement au printemps d’après pour élaborer avec eux un plan d’action personnalisé dans le but de progresser sur les quatre indicateurs du cadre agronomique. Avec un objectif prioritaire : trouver les bons leviers agronomiques, économiques et climato- pertinents pour chaque exploitation, sachant que les pratiques sont aussi très différentes, d’un territoire à l’autre. Et ensuite, nous les accompagnons dans la mise en œuvre. Quelles actions concrètes sont mises en place pour accompagner les agriculteurs ? L. R._ Nous avons la chance d’avoir l’appui de tout le service agronomique de VIVESCIA. Nos experts agronomes sont tous formés TRANSITIONS et ils nous accompagnent au quotidien pour répondre à toutes nos questions. Nous avons également mis en place des rallyes des sols : des rencontres entre agriculteurs et agronomes pour échanger sur leurs problématiques. L’idée, c’est de monter en compétence collectivement avec les agriculteurs. Pour les promotions qui ont démarré en septembre 2023, nous avons imaginé des conférences thématiques en collaboration avec des experts extérieurs, comme celles sur les sols avec Celesta Lab ou encore les Journées biodiversité avec l’écologue Johanna Villenave-Chasset. Quels sont les difficultés et les freins les plus fréquents dans la mise en œuvre de ces plans d’action ? L. R._ La dimension économique en premier lieu, que ce soit dans l’investissement en matériel ou dans l’achat d’intrants. Car on privilégie les leviers qui ont le plus d’impact sur les émissions de GES3. Or, choisir l’engrais solide, qui nécessite d’investir dans un matériel spécifique d’épandage, voire demain l’ammonitrate décarboné à la place des solutions azotées, a de fait un coût plus élevé. Ensuite, les aléas climatiques peuvent également entraver les pratiques et les résultats escomptés. Nous devons également nous adapter à la spécificité des terroirs, qui parfois nous empêchent de revoir l’assolement ; il faut prendre en compte l’historique et l’équilibre économique de l’exploitation. Les transitions s’envisagent nécessairement sur plusieurs années. 3 QUESTIONS À Lucas Rouvroy est technico-commercial chez VIVESCIA. Il accompagne tout au long de l’année 17 agriculteurs engagés dans le programme TRANSITIONS. Il nous explique son rôle dans la mise en œuvre du programme. Ce qui est intéressant, c’est l’échange. TRANSITIONS apporte un cadre scientifique mais il y a aussi les échanges techniques entre nous, et la mutualisation des deux est très importante pour pouvoir concrétiser dans les fermes et éviter au maximum les loupés. » Martin Gosset Agriculteur-coopérateur VIVESCIA dans l’Aisne, Promo A 3. Gaz à effet de serre. 7

Pierre angulaire du programme, les données collectées par les agriculteurs sur les itinéraires techniques constituent une chaîne à piloter de manière rigoureuse. Elle mesure les indicateurs du cadre technique de TRANSITIONS, et plus globalement l’empreinte environnementale, et valorise leurs progrès en répondant aux besoins des clients partenaires. La méthodologie robuste et fiable, pionnière dans notre secteur, est unanimement reconnue. LA CHAÎNE DE DONNÉES TRANSITIONS Vérification Vérification COLLECTE DES DONNÉES CALCUL DES 4 INDICATEURS DU CADRE AGRONOMIQUE ET DES FACTEURS D’ÉMISSION DE GES PRODUCTION DES RAPPORTS DATA AGRICULTEURS- COOPÉRATEURS CLIENTS VALORISATION DES PRODUCTIONS AGRICOLES AMÉLIORATION DES PRATIQUES Les agriculteurs mettent en place les leviers pour améliorer leurs résultats. Ils disposent de plusieurs outils qui les aident dans leur itinéraire technique et génèrent des données environnementales. L’ensemble de l’itinéraire technique de l’exploitation est enregistré dans l’outil de traçabilité Vi@parcelle by Wiuz par l’agriculteur ou la Coopérative. Les pratiques et le parcellaire sont envoyés vers les calculateurs LBC, CFT et l’outil Kermap pour produire l’ensemble des indicateurs suivis dans le programme. À partir des résultats, nous déterminons le niveau de performance de chaque exploitation et les facteurs d’émission spécifiques par culture. Les clients, rang 1 de la coalition, réceptionnent les résultats certifiés du programme. Vérification UNE CHAÎNE DE CONFIANCE NUMÉRIQUE Le programme TRANSITIONS est conforme au référentiel GHG Land Sector & Removals. Ce protocole international est le cadre de mesure, de comptabilité et de gestion des émissions de gaz à effet de serre provenant des activités des secteurs privé et public élaboré par le World Business Council for Sustainable Development (WBCSD) et le World Resources Institute (WRI). 8

La collecte de données s’effectue grâce à la plateforme digitale de traçabilité de notre partenaire Wiuz. 500 000 POINTS DE DONNÉES TRAITÉS SUR UNE ANNÉE POUR 419 AGRICULTEURS ENTRE 40 ET 50 POINTS DE DONNÉE/PARCELLE 700 000 EN 2026 POUR + DE 600 AGRICULTEURS 9

Chaque maillon est concerné… comme en ont témoigné les utilisateurs, les agriculteurs, les clients et nos partenaires techniques lors du séminaire annuel TRANSITIONS, le 2 octobre 2025. Alban Collard Associé-coopérateur et administrateur VIVESCIA Les clients apprécient l’objectivité de la donnée (la méthodologie appliquée est la même pour toutes les parcelles étudiées), la capacité à passer à l’échelle (aujourd’hui, nous sommes déjà à 10 000 parcelles monitorées) et enfin, l’automatisation de la donnée. » Marie Saglio Directrice générale de Saipol2 Collecter, transformer, valoriser, c’est ce que fait une coopérative. Il y a une centaine d’années, elles ont été créées pour mutualiser des moyens de production et de stockage des grains. Et aujourd’hui, elles collectent et valorisent les données issues des coopérateurs. » Alexandre Viennot Directeur commercial Kermap1 ROBUSTESSE ET FIABILITÉ DES DONNÉES AU CŒUR DU PROGRAMME Ce que les clients demandent, c’est de la transparence, de la traçabilité, c’est de la confiance et la fiabilité de la data, gage de la crédibilité de l’indice de durabilité que les clients nous achètent. C’est pour cela que la certification est essentielle pour valoriser nos critères de durabilité et structurer les marchés. » 1. Kermap mesure des couverts sur chaque parcelle grâce aux images satellite analysées en continu grâce à ses modèles d’intelligence artificielle. 2. Saipol (Groupe Avril) est le leader français de la transformation du colza et du tournesol. 10

Les enjeux de souveraineté alimentaire et énergétique sont souvent évoqués. Pensons aussi à la souveraineté des données. L’Europe est la première puissance agricole au monde et nous avons intérêt à jouer collectif et à nous engager tous ensemble pour produire une data structurée et de qualité au service de la chaîne de valeur. » Marc Hoppenot CEO de Wiuz 3 Pour la campagne 2024, nous avons analysé 18 000 parcelles, après moult vérifications, nous avons noté des erreurs pour 107 parcelles, c’est-à-dire moins de 0,5 % du total. Un pourcentage d’erreur si faible que nous aurions pu supprimer tout simplement ces données. Or, comme nous l’a expliqué justement VIVESCIA, cela représente potentiellement une cinquantaine d’agriculteurs qui ne pourront peut-être pas bénéficier de la rémunération méritée. Nous avons donc dû refaire nos calculs tout l’été, en décomposant toutes les données de chacune des parcelles concernées. Et la principale source d’erreur provenait d’un calculateur qui n’identifiait pas les nouvelles pratiques, notamment sur les apports organiques. » Audrey Bourolleau Fondatrice d’HECTAR5 PAROLES D'EXPERTS La maturité des données progresse rapidement. On dispose désormais de plus en plus de références statistiques solides et, surtout, on commence à voir émerger des séries temporelles et des tendances. Le passage à l’échelle accroît également la représentativité de ces données. TRANSITIONS est un des programmes les plus avancés à ce jour, tant par son ambition que par la manière dont il a été conçu et son alignement avec les standards internationaux. » Adrien Trompier Responsable du secteur agroalimentaire, Quantis4 3. Plateforme ouverte de données pour tracer les observations, identifier les parcelles et créer les indicateurs du programme TRANSITIONS. 4. Cabinet de conseil en stratégie environnementale 5. Ferme pilote, partenaire du programme TRANSITIONS. 11

LANCEMENT AUPRÈS DES AGRICULTEURS- COOPÉRATEURS VIVESCIA LANCEMENT OFFICIEL en présence des premiers partenaires clients (Roquette, Saipol du Groupe Avril, Etea Sédamyl, Tereos) et VIVESCIA Industries (Grands Moulins de Paris, Malteurop et KALIZEA) et annonce de 200 premiers agriculteurs engagés LANCEMENT DE LA CHAIRE DE RECHERCHE UNILASALLE « Fermes résilientes pour la biodiversité et le climat » ANNONCE DU SOUTIEN DE FRANCE 2030 BUREAU VERITAS AUDITE LES PREMIÈRES FERMES TRANSITIONS SUR LE TERRITOIRE VIVESCIA TRANSITIONS FAIT SA RENTRÉE À LA FOIRE DE CHÂLONS AVEC SA MATINALE, en présence de Roquette, Tereos et Malteurop, devant plus de 150 agriculteurs 2E ÉDITION ANNUELLE DU SÉMINAIRE TRANSITIONS — 160 PARTICIPANTS Le groupe de boissons Suntory, Pernod Ricard et le groupe familial belge Vandemoortele rejoignent la coalition TRANSITIONS. 180 NOUVEAUX AGRICULTEURS VIVESCIA (PROMO C) rejoignent le programme. NORIAP PRÉPARE LE RECRUTEMENT des premiers agriculteurs sur son territoire Mai 2023 Sept. 2023 Février 2024 Juillet 2025 Sept. 2025 Oct. 2025 RETOUR SUR LES TEMPS FORTS depuis son lancement en 2023 12

ARRIVÉE DES PARTENAIRES HEINEKEN ET MADEMOISELLE DESSERTS LES 235 NOUVEAUX AGRICULTEURS VIVESCIA DE LA PROMO B SONT ENGAGÉS PREMIER SÉMINAIRE ANNUEL TRANSITIONS, avec l’arrivée de nouveaux partenaires : Puratos, Brasserie Caulier, Brasserie Castelain, Griffith Foods Les sessions de formation se succèdent, avec des plans adaptés à chacune des deux promotions 420 AGRICULTEURS VIVESCIA SE MOBILISENT 04/02 : INAUGURATION DU DÉMONSTRATEUR TRANSITIONS AU SEIN DE LA FERME PILOTE HECTAR Un outil pédagogique pour explorer les différents leviers agronomiques utilisés par les agriculteurs engagés pour faire évoluer leurs pratiques agricoles 24/02 : DAVID SAELENS, PRÉSIDENT DU GROUPE NORIAP, ENGAGE OFFICIELLEMENT LA DUPLICATION DE TRANSITIONS au Salon de l’Agriculture à Paris VIVESCIA EST SPONSOR DU SAI PLATFORM EVENT 2025 DÉDIÉ À L'AGRICULTURE RÉGÉNÉRATIVE, l'occasion de présenter le programme concrètement lors d’une visite sur le terrain chez un agriculteur engagé, près de Villers-sous-Châtillon, dans la Marne. LE PROGRAMME EST PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU SYMPOSIUM EUROPÉEN DE LA SUSTAINABLE WHEAT INITIATIVE UTRECHT (PAYS-BAS) 200 AGRICULTEURS ENGAGÉS TRANSITIONS PARTICIPENT AUX TROIS JOURNÉES BIODIVERSITÉ animées par Johanna Villenave-Chasset, docteure en entomologie et en écologie du paysage dans trois fermes engagées Juin 2024 Sept. 2024 Automne 2024 6 nov. 2024 Février 2025 Mai 2025 Juin 2025 13

Retour en images sur les temps forts du SÉMINAIRE DU PROGRAMME TRANSITIONS Il a réuni plus de 160 participants, le jeudi 2 octobre 2025, sur le Campus UniLaSalle de Beauvais (60). Keynote SAI avec Hans Jöhr, Président d'honneur de SAI Platform1 et Armand Gandon, responsable amont agricole TRANSITIONS. Regards croisés scientifiques autour de la résilience des sols et du changement climatique avec Étienne Mignot, référent du socle agronomique TRANSITIONS, Bastien Sachet, d'Earthworm Foundation, et Thibaut Déplanche de Celesta-lab. Table ronde « Mobilisation des acteurs des filières végétales et céréalières » avec Hugo Naudet de KALIZEA, Florian Plomion, de Griffith Foods, Pierre Garcia Benque, de Grands Moulins de Paris, Julien Roy, de Malteurop, Maud Carrière, de Brasserie Castelain, et l'intervention vidéo de Jean-Philippe Michaux, de Puratos. Session innovation et agritech, animée par l’équipe TRANSITIONS et avec les regards d'Audrey Bourolleau, fondatrice de la ferme HECTAR, Gustaf Forsberg, CEO de NitroCapt, et Alexandre Viennot, de Kermap. Keynote de David Sergent, secrétaire général de Tereos, un de nos partenaires de la 1re heure. Table ronde « la data, de l'amont à l'aval » animée par Thomas Cornelis, responsable data TRANSITIONS, avec Marie Saglio, de Saipol, Adrien Trompier, de Quantis, Marc Hoppenot, de Wiuz et Alban Collard, agriculteur VIVESCIA. 1. Sustainable Agriculture Initiative Platform. 14

Avec TRANSITIONS by Noriap, nous construisons un accompagnement global et concret à l’échelle de la rotation, pour tenir compte des spécificités régionales et de nos filières. L’intégration de l’enjeu de l’eau en partenariat avec la Chambre d’agriculture de Seine-Maritime marque une avancée décisive : nous voulons croiser les enjeux sols, climat, biodiversité et désormais eau pour apporter des réponses agronomiques et économiquement pérennes aux agriculteurs. Avec la mobilisation de Novial et de Cocorette, nous faisons entrer la production animale dans la trajectoire de TRANSITIONS en structurant des filières vertueuses, de l’aliment à l’œuf. D’autres discussions sont en cours avec des partenaires du lait et de la volaille. Cette approche globale, du champ à l’élevage, est au cœur de notre vision : valoriser les pratiques, sécuriser les débouchés et confirmer Noriap en tant que premier fournisseur de matières premières décarbonées en Hauts-de-France. » Nathalie Ternois Directrice agriculture, Noriap Table ronde « Dans les champs » animée par Armand Gandon et avec les témoignages de Nathalie Ternois, directrice agriculture de Noriap, Benoît, agriculteur pour Noriap, Jérémy Ortillon et Martin Gosset, agriculteurs VIVESCIA. Mots d'introduction et de conclusion par David Saelens, président de Noriap et Christoph Büren, président du Groupe VIVESCIA. TEMPS FORTS Intervention d'Esther Crauser-Delbourg, économiste de l'eau, co-fondatrice et CEO de Water Wiser . 15

Ils font partie des premiers agriculteurs engagés dans le programme TRANSITIONS. Ils nous racontent leurs motivations et la façon dont ils ont fait évoluer leurs pratiques. Martin Gosset Agriculteur-coopérateur VIVESCIA dans l’Aisne Benoît Minard Agriculteur- coopérateur Noriap en Seine-Maritime, en cours d’engagement dans le programme – octobre 2025 On avait mis en place des choses sur la ferme par conviction mais le programme nous a fait aller plus loin, nous a sécurisés et a validé la pertinence des améliorations qu’on avait déjà mises en place. » DANS LES CHAMPS... PAROLES D’AGRICULTEURS « Lorsque je me suis installé, mon objectif, comme celui de tout agriculteur, c’était de pérenniser l’entreprise. Et mon capital, mon outil de travail, c’est le sol. Si je ne l’entretiens pas, mon métier n’a plus de sens ni d’avenir. Nous avons redécouvert des qualités à la biodiversité et aux cultures. Pour moi, TRANSITIONS est la reconnaissance du travail de mon père. » C’est la première fois [que l’on] prime sensiblement les bonnes pratiques des agriculteurs ! Et puis, le principe d’être plus vertueux sans tout bouleverser nous a convaincus. On montre enfin aux consommateurs que l’agriculture française se préoccupe de l’environnement. » Romain et Benjamin Scheuer Agriculteurs-coopérateurs VIVESCIA dans les Ardennes 16

Clément Regnault Agriculteur-coopérateur VIVESCIA dans la Marne « Participer au programme, c’est aussi l’occasion d’échanger avec les agriculteurs autour de chez nous et que nous ne connaissions pas forcément. Ces échanges sont très constructifs. On se déplace sur les exploitations des uns et des autres, on découvre d’autres façons de faire, d’autres techniques... Ainsi, nous allons plus loin sur nos exploitations et faisons évoluer nos pratiques, avec le concours des experts de TRANSITIONS. » Nous sommes impactés par le changement climatique, c’est important de s’engager dans une démarche environnementale. Mais j’avais l’impression que les solutions existantes se résumaient à des cahiers des charges à respecter et manquaient un peu de concret. Je cherchais du pragmatisme, de l’ambition, des objectifs et des moyens d’action... C’est exactement ce qu’apporte le programme TRANSITIONS car il s’appuie sur la recherche agronomique, sur des critères précis et robustes, sur un accompagnement et un suivi réguliers... » Gauthier Charles Agriculteur-coopérateur VIVESCIA dans la Seine-et-Marne J’étais au Club Agrosol (VIVESCIA) depuis des années mais on commençait à buter sur des impasses techniques, comme la façon d’implanter un couvert quand on n’a pas de pluviométrie de juin à septembre. TRANSITIONS est arrivé à point nommé avec un cadre agronomique robuste et un accompagnement quasi personnalisé dans la mise en place de solutions. » Mathieu Peschaud Agriculteur- coopérateur VIVESCIA en Haute-Marne 17

Bruno Ben Said Global category manager raw material Roquette REGARDS CROISÉS D’INDUSTRIELS DES FILIÈRES CÉRÉALIÈRES ET VÉGÉTALES... Ils sont des partenaires de la première heure. Julien Roy, directeur projets stratégiques et RSE chez Malteurop, leader mondial du malt, et Bruno Ben Said, global category manager raw chez Roquette, leader mondial des ingrédients d’origine végétale, partagent leurs enjeux en matière d’agriculture régénérative, le chemin parcouru avec TRANSITIONS depuis deux ans et leurs attentes pour demain, lors de la table ronde matinale Transitions – foire de Châlons le 5 septembre 2025 devant près de 150 participants, agriculteurs engagés et équipes VIVESCIA. Comment intégrez-vous dans vos stratégies vos enjeux RSE, notamment en matière d’agriculture régénérative ? Bruno Ben Said/Roquette_ Notre prise de conscience n’est pas récente et notre démarche volontaire s’appuie sur le référentiel SBTi. Nous nous sommes engagés à réduire de 25 % nos émissions carbone sur nos scopes 1, 2 et 3 à l’horizon 2030 et cet engagement fort doit trouver un écho dans l’amont agricole et dans les solutions que vous pouvez proposer aux industriels que nous sommes. Le monde change au niveau du climat mais aussi au niveau commercial. Il y a une attente claire de la part de nos clients de produits plus responsables, mais souvent sur des points différents. Julien Roy/Malteurop_ Nous déclinons la politique RSE LINK du Groupe VIVESCIA sur les trois piliers et agissons pour la Terre, les femmes et les hommes, les filières et les territoires. Des engagements inscrits dans des feuilles de route pour chacun de nos sites industriels. Quant à l’agriculture régénérative, nous nous inspirons du programme TRANSITIONS créé en France pour le répliquer (à une échelle moindre) dans d’autres pays, en Europe et sur le grand international, tout en l’adaptant au contexte local. Notre objectif 2030 : atteindre 30 % de nos approvisionnements en orge issue de l’agriculture régénérative et/ou bas carbone. Vos clients sont-ils prêts à financer ces transitions ? Bruno Ben Said/Roquette_ Il y a des marchés très structurés et actifs sur l’intensité carbone. Sur l’éthanol, par exemple, les marchés européens sont régulés. Là, par une data précise, auditée, 18

Julien Roy Directeur projets stratégiques et RSE Malteurop vérifiée, fiable, on arrive à justifier que le produit que l’on propose a une intensité carbone plus faible et une valeur supérieure. Et il y a des demandes complémentaires sur la biodiversité, la santé des sols, l’agriculture régénérative sur des indicateurs spécifiques et là, cela dépend de la stratégie de valorisation des produits qui est appliquée. Mais nous devons y répondre aussi. Julien Roy/Malteurop_ Ces trois dernières années, la consommation globale de bières dans le monde est en légère décroissance. Tous les grands brasseurs regardent aujourd’hui un peu plus les coûts. Néanmoins, beaucoup sont engagés dans des démarches SBTi et doivent donc avancer et délivrer des produits plus durables, même si les consommateurs ne sont encore pas toujours prêts à débourser la petite surprime occasionnée. Ce sont donc eux, qui financent ces transitions, avec un retour sur investissement attendu en termes d’image, vis-à-vis des investisseurs et des banques, notamment, et ils disposent de données fiables démontrant les progrès réalisés pour pouvoir, à terme, les faire valoir auprès de leurs consommateurs. Et puis nous avons des clients plus locaux, artisanaux, qui eux aussi investissent par conviction. Quel regard portez-vous sur le programme après deux ans ? Julien Roy/Malteurop_TRANSITIONS nous aide à nous différencier sur nos marchés. Tous nos clients nous regardent différemment depuis que nous sommes capables de démontrer nos changements. Nous sommes identifiés comme des malteurs proches des agriculteurs, en capacité de comprendre leurs contraintes, d’échanger régulièrement avec eux et de les accompagner dans leur transition agroécologique au travers de la Coopérative VIVESCIA. C’est une force ! Bruno Ben Said/Roquette_ Il était assez naturel, pour nous, d’entrer dans le programme car nous connaissions VIVESCIA et nous travaillions ensemble depuis longtemps. La démarche restait néanmoins une innovation pure, donc nous ne savions pas trop ce que nous allions obtenir. La première année était plutôt une phase d’observation, sachant que nous étions engagés pour plusieurs années. Et les résultats étaient plutôt bons, malgré des conditions climatiques défavorables. Nous sommes donc confiants pour l’avenir et convaincus que nous allons apprendre tous ensemble au sein de la coalition. 19

« HEINEKEN œuvre à concilier performance et responsabilité en agissant sur la réduction de son empreinte environnementale et sur la résilience de ses approvisionnements. Notre adhésion au programme TRANSITIONS, avec Malteurop, s’inscrit pleinement dans cette vision. » Isabelle Sucra Directrice RSE Heineken France « L’agriculture régénérative va nous aide à proposer à nos consommateurs un choix responsable avec des orges issues d’une agriculture réfléchie. Nous avons choisi TRANSITIONS d’abord par conviction puisque le programme résonnait avec notre ADN, mais aussi par fidélité et confiance en Malteurop, notre fournisseur historique. Et enfin, pour la mise à disposition de données fiables car les consommateurs ne veulent plus de discours mais des actes, des preuves, chiffres à l’appui. » Maud Carrière Responsable RSE Brasserie Castelain Acteurs agroalimentaires et industriels de premier plan ont rejoint le programme TRANSITIONS. Ils nous font part de leur point de vue. « Nous sommes fiers de rejoindre le programme TRANSITIONS aux côtés de VIVESCIA et de Sedamyl dans le cadre de notre feuille de route agriculture régénérative. Nous croyons au pouvoir transformateur de l’agriculture régénérative et à la nécessité d’un engagement collectif pour faire évoluer durablement nos filières. » Morgane Yvergniaux Directeur climat et nature Pernod Ricard « Nous voulons co-construire un avenir où l’agriculture régénérative devient la norme, en stimulant l'innovation et en proposant des aliments savoureux pour nourrir la planète. Pour cela, nous devons accompagner le plus grand nombre d'agriculteurs engagés. Nous collaborons avec Grand Moulins de Paris depuis de nombreuses années sur nos achats de farine, et ce programme nous a amenés plus loin en termes d'innovation et de développement. » Jean-Michel Michaux CEO Puratos 20

« Tereos a un programme très ambitieux de décarbonation. Sur le scope 3, nous voulons réduire nos émissions de C02 de 36 % d’ici à 2032 et inclure 20 % de matière première collectée auprès de nos coopérateurs issue de l’agriculture régénérative. Le programme TRANSITIONS répond parfaitement à cette ambition. » David Sergent Secrétaire général de Tereos « Notre ambition à horizon 2030 est que 80 % de notre portefeuille de matières premières soient issus de sources durables, c’est-à- dire possédant une certification type FSA – SAI, GLOBALG.A.P. ou Rainforrest Alliance, par exemple, et dont 25 % issus de l'agriculture régénérative. Nous avons évalué nombre de programmes en Europe, et TRANSITIONS est clairement l’un des meilleurs. Ses points forts ? Sa maturité, la couverture des exploitations dans leur intégralité et pas seulement sur une culture précise, la robustesse des datas fournies. Nous souhaitons que le programme TRANSITIONS se développe, pour offrir encore plus de volumes et plus d’ingrédients en intégrant de nouvelles cultures. Et une diffusion à l’international nous intéresse également, car nous sommes présents dans de très nombreux pays. » Florian Plomion Responsable achats Europe Griffith Foods Europe « Grâce aux pratiques régénératives mises en place dans le cadre de TRANSITIONS pour les années à venir, nous nous engageons à réduire significativement l’empreinte carbone de nos produits et à proposer à nos clients des ingrédients à faible impact environnemental. » Ugo Sidoli Responsable développement durable Etea Sedamyl « Échanger avec des entreprises agroalimentaires et nous rapprocher d’experts en technologie : cette approche s’est imposée comme la plus efficace pour mener à bien des projets à fort impact.» Géraldine Bernard Global agriculture sustainability lead, Heineken « Vis-à-vis de nos clients, c’est important de montrer que nous sommes vraiment engagés dans un programme de durabilité. Au niveau de la grande distribution, nous avons de plus en plus de demandes pour des produits durables et bas carbone, car les consommateurs y sont de plus en plus sensibles. » Johan Declerck Raw Materials manager Vandemoortele 21

Agence labellisée *** RSE Agences Actives [email protected] C50 M90 Y75 K70 C0 M20 Y100 K0 AVEC LA MOBILISATION DE AVEC LE SOUTIEN DE FRANCE Pour réussir les transitions agricoles et alimentaires à grande échelle, seule une réponse collective s’impose, pour en mutualiser les coûts. La transition des fermes est financée par une coalition de clients industriels et agroalimentaires à près de 90 %. AVEC L’ENGAGEMENT DE FOUNDING PARTNER FONDATEUR S U I V R E TRANSITIONS Siège social à Reims • 2 rue Clément Ader, 51100 Reims • Conception graphique : Anthony Texeira - DotStudio • Conception éditoriale et rédaction : Corine Delahaye, Valérie Desprets - Sapristi Factory, communication programme TRANSITIONS • Crédits photo : Ballade Studio, Bertrand Boissimon, Axel Cœuret, Guillaume Czerw, Stéphanie Tétu, Visu Communication, Malteurop, Grands Moulins de Paris, Francine, Campaillette, Délifrance, Kalizea, NEALIA, VIVESCIA • Imprimeur : Galaxy. Ce document est imprimé sur un papier issu de forêts gérées durablement et certifiées PEFC. Une publication de la direction de la communication du programme TRANSITIONS • Décembre 2025. Pour nous contacter [email protected]

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